La mémoire nous joue des tours, car nous interprétons différemment selon le contexte d’un évènement ou d’un sujet.
Nous trouvons la mémoire objective qui est l’Histoire, commune à l’humanité et la mémoire subjective, qui est proche de celle sélective, individuel, selon son parcours et son expérience.
L’être humain donne sens, qui se transforme en signification, à des préceptes plus ou moins complexes, d’une vie qui, à la base est hostile et difficile à gérer.
Les impondérables sont là pour réguler l’esprit, car il faut savoir oublier et s’oublier, afin de progresser et d’avancer.
N’appelle-t-on pas cela évolution ?